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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 16:42
Comme le soulignait François Turcas de la CGPME link  lors de la conférence de presse du 24 septembre 2009 dernier,
" les PME sont les premières victimes de la crise mais peuvent aussi être les premières solutions de reconstruction"...


Souplesse, inventivité sont les maîtres mots qui caractérisent les PME.
 Au sein des TPE, PME les chefs d'entreprises sont indiscutablement plus proches de leurs collaborateurs, de leurs clients, et fournisseurs et cherchent ensemble des solutions créatives pour faire face à une situation certes confuse mais porteuse aussi d'opportunités. 
Qu'attendez vous pour les imiter?
Changez de regard sur l'avenir...
Et si vous rêviez votre entreprise en expansion ?
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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 13:13
 A l'initiative de LANECS ( l'association nationale des entreprises citoyennes solidaires), un cycle de 10 conférences a démarré le 30 septembre dernier à la CCI de Lyon: PREVENIR POUR MIEUX AGIR

Ces conférences ont pour but de prévenir des risques de liquidation les entreprises fragilisées par la crise.
Au coeur du sujet..l'homme. Qu'il s'agisse du dirigeant ou de ses collaborateurs,tous doivent apprendre à naviguer par gros temps et ont intérêt de garder le cap ensemble.
Quand le bateau chavire LANECS s'engage auprès des entrepreneurs afin de les accompagner dans leur "renaissance"
Voir article du 26 septembre dans LE TOUT LYON link
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6 avril 2009 1 06 /04 /avril /2009 14:26


"Le manager musicien " de Rémi Hupper

Une lecture inspirante...

 

 

 Le manager donne l’impulsion qui permet d’agir.

Il offre à improviser  dans la discipline.

Il sait donner le La, le ton , le rythme et décider.

Il écoute , dialogue,  répète…

Autant de qualités qui lui sont nécessaires pour bien jouer  en collectif.

 


Et au-delà… qu’en est il de la musique de la vie…(en entreprise ou ailleurs) ?

Trouve-t-on en elle  l’harmonie recherchée, une  mélodie qui nous ressemble ?

 

La joue-t-on  avec entrain et conviction ?

Lui accorde-t-on les silences nécessaires, les pauses…

Savons nous entrer en résonnance et nous  laisser ré-enchanter, ré-inventer par l’air du temps.

Avons-nous à « chœur » de construire  une cathédrale où l’œuvre d’une vie dépasserait alors nos vies…

Belle et joyeuse  symphonie du jour .

 

 

 

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4 avril 2009 6 04 /04 /avril /2009 18:46

MANAGER DANS LA COMPLEXITE

 

Cette rubrique a pour objectif de mettre en lumière les attitudes efficaces de nos chefs d’entreprise face à la complexité. Il n’y a bien évidemment pas une seule réponse mais de nombreuses réponses possibles.

 

Notre ambition est ici de modéliser la réussite de nos dirigeants afin que chaque lecteur puisse s’en inspirer et trouver à son tour un moyen  qui lui soit  propre de manager ses projets, ou son entreprise dans et avec la complexité.

 

Un diagnostic individuel pourra être établi sur demande par un coach certifié afin d’identifier les atouts et axes de développement de cadres dirigeants.

 

Il s’articule autour des attitudes et postures du leader face aux changements, à l’incertitude et aux pressions de l’environnement.

 

 

La complexité se manifeste à nous le plus souvent « sous les traits de l’incertain, de l’enchevêtré et de l’instable ». Dominique Genelot

 

Face à cette complexité quels sont les moyens dont dispose le dirigeant pour ré-inventer une  organisation plus efficace, des méthodes de régulation optimales, susciter une plus grande coopération entre les acteurs ( clients, fournisseurs, collaborateurs…) et pérenniser ainsi son entreprise.

 

Comment transformer un environnement incertain et menaçant en espace d’opportunités, d’innovations, un champ de tous les possibles?

 

 

Nous avons eu l’occasion d’aborder le sujet lors d’un premier article qui mettait en évidence l’utilité de prendre de la hauteur face à la complexité.

 

Nous allons voir aujourd’hui avec ce nouveau témoignage de JP Desseignes quelle autre posture peut favoriser la réussite d’une entreprise.

 

                                                           -----------------

Manager dans la complexité : ou comment se développer par l’intelligence relationnelle

 

JP Desseignes fut pendant plusieurs années dirigeant de la société SEDAT dans le secteur médical et a participé activement au développement de cette société à l’international. Il développe depuis une activité ophtalmologique à l’international.

 

 

 MGuillet : A quelle complexité êtes vous confronté et de quelle façon y répondez vous ?

 

 

JP Desseignes : La complexité dans laquelle j’ai choisi d’évoluer est la complexité des échanges mondiaux.

 

JP Desseignes a tissé dans le secteur santé, un réseau d’échanges commercial mondial hors Afrique noire.

 

Bien que le coût d’approche des marchés à l’international soit plus important que celui d’un marché local, la démarche doit cependant pouvoir s’envisager dès lors que l’on dispose en interne des ressources nécessaires et que l’on en a envie.

 

En effectuant à l’étranger les opérations basiques, les collaborateurs en France peuvent ainsi évoluer sur des tâches à plus grande valeur ajoutée et l’on peut aussi développer davantage de R&D.

 

Mais disposer de ressources internes ne signifie pas seulement savoir parler le langage du pays. Il faut constamment vérifier qu’on a bien compris, être à l’écoute, reformuler en cas de doute…Abandonner ses certitudes pour s’ouvrir à d’autres modes de pensées.

 

 Le constructivisme permet d’avancer sans tout connaître du chemin qui sera parcouru et de s’adapter en fonction des rencontres et opportunités du parcours.

 

Pour créer la relation avec son interlocuteur, Jean Pierre Desseignes parle de présence en continue y compris lorsque les distances sont importantes. Il ne s’agit pas forcément d’être en déplacement mais d’être en contact soit par mail, soit par téléphone, par courrier.

 

« Ce qui diminue la distance c’est avant tout la simplicité dans les relations » je considère mes interlocuteurs comme des partenaires avec lesquels je travaille et je me rends disponible et pleinement présent lorsque je les rencontre ou les contacte.

 

Faire ce que l’on dit garantit aussi une bonne entente.

 

Autre clé pour se développer à l’international :  il faut être curieux, aimer s’enrichir de nouveautés.

Il faut accepter de se remettre en question, de découvrir de nouvelles règles de fonctionnement, et s’y adapter. Les règlementations étant différentes selon les pays il peut être utile de « customiser » les produits en les adaptant aux besoins du marché.

 

 

L’audace est nécessaire mais doit aussi s’associer à la progressivité.

Il est souvent préférable de vendre tout d’abord par le biais d’un réseau de distributeurs, puis augmenter son volume d’affaires, employer en France les services administratifs, de recherche et développement et production puis installer sa filiale à l’étranger ou produire en partie à l’étranger pour avoir un accès direct au pays.

 

  

« Et ce qui tient dans la relation, ce qui dure, c’est ce qui est équilibré ».

 

Lorsque l’on va à l’international on ne s’engage pas sur du court terme …les managers peuvent changer, les relations commerciales, elles, restent.

 

 

 

Dans le secteur médical, les grands courants de déploiements à l’international suivent souvent ce parcours.

L’on cherche d’abord à se développer à l’Europe ce qui installe une certaine crédibilité des acteurs.

Vient ensuite l’intérêt pour les pays développés qui ont accès aux soins: Amérique du Nord, Japon, Asie du sud est.

Puis les pays en voie de développement comme l’Inde sont ciblés et enfin en dernier lieu les pays entre l’Afrique du Nord et l’Afrique du sud mais il s’agit alors essentiellement de vente de matériel qui auront une durée de vie importante et pour lesquels la vente de consommables sera plus aléatoire.

 

ANALYSE :

 

Jean Pierre est avant tout un homme aux qualités relationnelles fortes.

 

Pour répondre à cette soif d’international, il a su développé un goût  pour l’inconnu, un sens de l’étonnement, il accepte de se laisser surprendre, de sortir des sentiers battus et ose aller vers des espaces moins sécurisés.

 

Face à l’incertitude et l’insécurité, il leur préfère la prévention des risques et la liberté d’aller de l’avant.

 

Il faut pour cela disposer d’une confiance en soi et d’une capacité d’écoute particulièrement fine qui permet de déceler dans de nouveaux codes de communication la signification précise d’un échange.

 

Il ne raisonne plus français mais planétaire.

 

Bien que profitant des évolutions technologiques favorisant les échanges, il reste très attaché au contact humain direct de qualité.

 

Pour faire face à la complexité il associe donc présence, confiance, écoute et qualité relationnelle.

 

Jean Pierre nous confie être aidé par son entourage familial et fait très attention à respecter un équilibre vie personnelle et vie professionnelle grâce à une excellente organisation et un travail minutieux en amont avant tout déplacement.

 

Rien n’est laissé au hasard, pour laisser le temps et l’espace nécessaire à la découverte qui s’invite souvent sur le chemin. link

 

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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 10:52

Manager dans la complexité ou comment grossir intelligemment à l’international

 

Il y a 8 ans, Michel Alexandre (associé à un ami) a racheté la société Sippex  aux Laboratoires Aguettant.

Trois ans plus tard, il s’installait en Chine (à Xian) au moment où par chance le dollar avait

chuté.

Depuis un an la société s’est enrichie de nouveaux actionnaires afin de lui permettre de relever encore de nouveaux défis.

A ce jour, 70% du CA est réalisé à l’export dont 60% hors Europe

La société compte aujourd’hui 50 collaborateurs en France et une centaine en Chine.

  

A : Récit

 

MGuillet :  Quels ont été les grands défis qu’il vous a fallu relever lorsque vous avez racheté la société SIPPEX ?

 

M Alexandre : Tout d’abord ce fut un défi financier que je n’ai pu relever que grâce à l’aide d’un ami qui est entré au capital à hauteur de 50% .

 

Ensuite ce fut un défi marketing car 90% du CA était réalisé avec Aguettant et mon souhait était bien entendu de faire progresser le CA afin de diminuer cette part à 30% ce qui est désormais le cas.

 

Les changements qui ont été réalisés durant ces huit années le furent en douceur et surtout dans la transparence y compris en périodes difficiles grâce à la communication et en particulier aux réunions mensuelles avec le comité d’entreprise et les délégués du personnel.

 

La flexibilité fut aussi l’une des clés de la réussite ; Des aménagements horaires «  à la carte » ont été organisés afin de permettre à chacun de travailler à son rythme tout en répondant aux besoins de l’entreprise.

 

Dans le secteur médical où les donneurs d’ordre et la règlementation (AMM : autorisation de mise sur le marché) sont exigeants, tout le personnel de la Sippex s’est senti impliqué dans la démarche qualité.

 

Grâce à des collaborateurs responsables, investis dans la Sippex mais aussi dans la vie locale et grâce à une standardisation importante des procédures, la société peut aujourd’hui se vanter de maîtriser sept techniques différentes de transformation des plastiques (mélanges, extrusion, injection, soudure haute fréquence, soudure ultrasonique, impression à chaud et enfin montages divers).

 

La société s’est aussi modernisée en renouvelant la totalité de ses machines et a innové en  investissant sur un nouveau matériel permettant de travailler en multicouches.

 

Bien que l’adhésion des collaborateurs au projet de l’entreprise fut essentielle, le savoir être de Michel Alexandre fut la clé de voûte de la réussite de cette entreprise comme nous allons le voir dans cette analyse.

 

B Analyse

 

Michel Alexandre est avant tout un aventurier lucide qui se donne les moyens de recul nécessaire pour pouvoir anticiper et faire face aux risques de changements de l’environnement de son entreprise.

Exemple : recherche de solutions face à la possible interdiction des phtalates en pharmacopée.

 
Il sait s’appuyer sur les ressources nécessaires à l’expansion de son entreprise : ressources capitalistiques et humaines.

 

Il communique sur le sens qu’il donne à ses actions ce qui favorise la coopération de ses collaborateurs au projet de l’entreprise.

 

Sa curiosité insatiable et son adaptabilité au regard des particularités des pays avec lesquels il commerce (Zimbabwe, Corée du Nord, Lybie, Afrique du Sud…)  lui permettent de répondre au mieux aux différents besoins de ses clients et aux différentes contraintes du marché international.

 

Son audace et sa jeunesse d’esprit, ce que l’on appelle dans le jargon de l’analyse transactionnelle «  son enfant libre »  lui permet de s’ouvrir sans à priori sur de nouveaux marchés.

 

Enfin, il nous dévoile un secret : Michel prend un moment chaque année pour écrire ce vers quoi il souhaite orienter son entreprise.

 

Prendre de la hauteur permet d’appréhender la complexité, donner du sens à ses décisions, les communiquer, être curieux de tout et oser s’aventurer rationnellement, voilà quelques clés que Michel Alexandre a eu la gentillesse de partager aujourd’hui avec nous. link

 

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 11:43

Manager avec la Philo d'Eugénie VEGLERIS
Extraits "

" Dans un environnement soumis à de multiples bouleversements et régis par l'urgence, la philo permet de prendre le recul nécessaire pour penser et faire autrement //

Nul besoin d'être philosophe pour lire ce livre, munissez vous d'un peu de bon sens et de curiosité"

 

 

La philo fait partie intégrante de la vie et bien sûr de la vie en entreprise.
Elle est utile pour appréhender la complexité des organisations tant mondiales que locales.
Accompagner les dirigeants c'est avant tout prendre de la hauteur  pour ouvrir vers davantage de choix.

La philo ne doit pas être envisagée comme  Inacessible.

Elle est offerte et disponible à celui qui cherche, se remet en question, invente et agit en éclairant ses choix du sens qu'il souhaite donner à ses actes.

La philo c'est savoir dire "je ne sais pas", c'est définir pour clarifier, c'est dialoguer pour construire...

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 22:03
 
Dans l'article  "L’expérience fabuleuse de Muriel Guillet "  (Le Progrès du 26/11/07)

Je dévoile ce que la peinture permet de vivre et de découvrir comme ressources cachées en soi.
Je vous en livre quelques extraits afin d'illustrer mon propos qui s'adresse ici à vous
chers dirigeants ou managers que je coache.

Les défis auxquels vous êtes confrontés semblent très éloignés de l'art.
Pourtant certaines pistes viennent parfois du monde de la création. En voici quelques exemples...

 

Le tableau ici présenté se nomme "La porte aux roses"; Il a nécéssité , selon mes perceptions habituelles trois bonnes heures de création...Pourtant sa création n'a duré que 10 minutes...

LE TEMPS ET L'ESPACE

Qu'est ce qui fait courir le monde?
Et si l'on se posait un instant pour voir plus clair.
On entend parler de stress, de confusion, de manque de visibilité, de pressions insupportables...
Pourtant nous disposons en chacun de nous de ressources incroyables pour faire face à cet environnement fluctuant...il nous suffit de les découvrir.

Et si le temps devenait un allié...

"quand on est persuadé que c'est important pour soi, le temps se libère"

- La première ressource disponible en chacun de nous est la foi au tout possible...
hors des sentiers battus et des croyances ancestrales... et si le temps se rendait disponible...


« Plus que la technique , c’est l’ouverture à soi qui permet de créer »

- La seconde c'est l'ouverture à soi puis à un espace plus vaste que l'espace où siège la pression ou le problème.
Nous créons nos propres limites, nous créons d'ailleurs le monde dans lequel nous vivons...
 
"Créer est un jeu. Il nous est donné de  traverser tant d’univers." 

- la troisième c'est laisser vivre et s'exprimer son enfant créatif.
Lui ne sait pas que ce n'est pas possible, alors il tente et réussit...

Quoi de plus simple me direz vous, il suffit de croire en d'autres possibles pour que celà nous sorte des difficultés, n'est ce pas un peu naïf?
C'est tout sauf naïf... c'est novateur.
La science nous invite à réfléchir sur ce qui nous semblait jusqu'alors figé...
Allons un peu voir ce que nous révèle la physique quantique, ou l'analyse du cerveau...
A nous de rester à l'écoute et développer nos aptitudes pour mieux appréhender notre environnement, ses opportunités de croissance...
En nous et en dehors de nous.


 

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